Les Bozarts

de l'Abbevillois
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Monique Tarlin

Histoires de murs

du 4 au 31 mai 2019

Mon travail s’articule autour de l’observation dans la rue de 
morceaux de bitume ou de murs qui ne me laissent pas indifférente tant au niveau de la  matière , des couleurs ou du langage plastique qu’ils dégagent ; la photo agit comme intermédiaire au travail pictural , j’utilise ensuite sur un autre support la peinture acrylique.

 

PATRICE ROGER

du samedi 16 mars 2019

au mardi 30 avril 2019

Les inconnues de Fayoum

estampe pigmentaire

 

…Masquer ou éliminer le masque. Résurgence dans notre siècle par ce travail en douze figures qui masquent la trace du temps, marquent une empreinte picturale, jouent une partition de notre temps, « ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre ». Sur des tempos successifs, l’histoire – car c’en est bien une qui invite le spectateur à la construire et la déconstruire aussitôt – ne révèle pas. Elle imprime par le masque du visage, sa silhouette, ses traits obscurs ou sa lumière zébrée, ce que le corps ne dit pas et, dans l’empreinte de la scène, une écriture fluide du passage de l’artiste. Un passage tel un glissement. Les passages d’un visage mouvant. Un dialogue d’images où l’homme et son vocabulaire imaginaire s’inscrivent sur notre histoire ou sa représentation. Une histoire à la fois singulière et collective qui glisse au sein de l’image, de portrait en portrait, l’offrande d’un regard transformé. Un hommage masqué aux femmes et une empreinte. Sa trace.
Yves Doazan (extrait).

 

 

 

Julie Mallard

Lowbrow

du 28 janvier 2019

au 8 mars 2019

Le lowbrow se réapproprie les codes issus des médias populaires tels que le comics , le graffiti, le dessin animé et tout ce qui n’est pas considéré comme appartenant au monde des « Beaux-Arts » classiques.

Il est considéré comme faisant partie de la « pop surréaliste ».

Le Lowbrow art est souvent humoristique, tantôt joyeux, parfois espiègle et, d’autres fois, sarcastique.

La plupart des œuvres lowbrow sont des peintures, mais elles peuvent également utiliser d’autres supports ou techniques.

À propos de Julie Mallard

« Depuis toute petite je ne fais que dessiner et peindre, n’ayant pas eu une santé de fer je passais mon temps à m’évader par mes dessins.

Je ne fais que retranscrire mes impressions sur le monde de part ma vision de ce dernier ,mon but est de faire rêver. »

RACHID BOUKHARTA

Linogravure

du 1 décembre 2018

au 18 janvier 2019

UN JARDIN DE MOTIFS ET DE COULEURS

« Voilà comment qualifier le style pictural de Rachid Boukharta. Un art de l’intériorité où les éléments figuratifs sont convertis en formes abstraites, dans une mise en espace et en couleurs originales. La répétition des motifs crée non seulement un effet visuel surprenant, mais une musicalité. »

Voir, à propos de Rachid Boukharta, le film de Pierre Boutillier,

La Promesse !

Travaux d’élèves d’automne à l’OT 2018 !

du samedi 10 novembre 2018

au vendredi 23 novembre 2018

OFFICE DE TOURISME – ABBEVILLE

 

Anne Jany

du samedi 22 septembre 2018

au vendredi 16 novembre 2018

SECRETS DE LA GRAVURE

 

Anne Jany exprime non ce qu’elle voit mais ce qu’elle pense de ce qu’elle voit, par une originale harmonie de lignes gravées dans le zinc.
Elle illustre les thèmes qui l’inspirent: la nature, les grands hommes, l’enfance…

L’installation « Un an tout rond » exposée à la bibliothèque Robert Mallet est une œuvre construite comme un journal qui se déroule en 730 images.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Travaux d’élèves 2018

Du samedi 23 juin

au vendredi 6 juillet 2018

France Dufour et Michele Mareuge

 

 

 

A propos de calligraphie

 

Composition techniques mixtes à partir

de calligraphie recyclée et calligraphie abstrait   

Depuis l’invention de l’écriture cunéiforme par les sumériens (des combinaisons d’empreintes en forme de clous et de coins réalisées dans des plaques d’argile), nous n’avons cessé de perfectionner les systèmes aux apparences multiples que nous connaissons aujourd’hui.

L’écriture manuscrite (qui est déjà remplacée par l’utilisation des touches du clavier et/ou le son de la voix qu’une machine transforme en mot), est une pratique en stricte relation avec notre corps et notre esprit, une prise directe sur notre cerveau en quelque sorte.

Le crayon, la plume ou le doigt directement enduits de peinture transforment notre corps. Ces outils rendent tangible grâce à l’écrit notre intimité intellectuelle.

Ces différents traceurs nous permettent de donner à voir et à comprendre, de fixer sur la matière et dans le temps des idées, des émotions, des concepts, des règles….Bref, l’écrit nous permet de transmettre par-delà notre existence même ce que notre cerveau élabore.

Avec France Dufour et Michèle Mareuge, l’acte d’écriture, le geste, la trace qui en découlent et le papier deviennent une matière première au service d’un processus créatif. Elles revisitent et interprètent cet acte aussi banal que complexe. Elles transforment le sens des mots en tant que signifiant qui deviennent des signes étranges, une écriture étrangère. France Dufour et Michèle Mareuge nous proposent ces textes, ces mots, ces lettres ou de simples fragments de lettres qu’elles couchent sur le papier ; Il en est le réceptacle, il porte la trace, la transporte. Vecteur, il est à son tour découpé, déchiré, collé, enduit, peint, tissé….Le texte est déconstruit, fragmenté, transfiguré, réinventé en tant que signe. Le langage plastique supplante alors le verbe et d’autres codes se mettent en place, les couleurs, les formes, les valeurs se mêlent aux graphies morcelées et de nouvelles histoires s’offrent à nos regards….

Images résilientes…..comme une preuve de la permanence et de la continuité de l’intention de l’artiste à s’imposer obstinément.

Jean-François Petitperrin

 

Des fleurs au levant !

Une oeuvre installée en février 2018 

dans le quartier du Soleil Levant

Boucher de Perthes 2018

Travaux d’élèves

du samedi 3 février

au vendredi 16 mars 2018

Jacques Boucher-de-Perthes à Abbeville, on connaît ! Enfin… surtout le lycée qui porte son nom et que l’on associe vaguement à la préhistoire à cause du silex taillé géant que l’on a planté à l’entrée…et pour pas mal de gens ça s’arrête là !
Dommage, car, lorsque l’on y regarde de plus près, la vie de Jacques Boucher-de- Perthes mérite plus qu’un détour !

Ecrivain, musicien ( compositeur), scientifique, fonctionnaire et voyageur…une vie qui a de quoi nourrir notre imagination ; à plus forte raison lorsqu’elle fait référence à la préhistoire, à l’archéologie et à une époque où les nouvelles origines de l’homme bouleversaient les certitudes…

Mais profitons en pour  rendre hommage à un vrai picard se prénommant Casimir (qui aurait dit-on inspiré le célèbre dinosaure orange…), archéologue en devenir, qui n’aura hélas pas le temps de poursuivre des recherches qui serviront de socle à notre Boucher-de-Perthes en mal de reconnaissance…
Grâce à la pratique du dessin, de la peinture, des arts numériques, de la céramique et du travail en volume nous avons interprété ce qui n’était pas encore une science, à savoir le travail archéologique mené par JBP.
Nous n’avons pas toujours cherché à illustrer ses propos et ses découvertes, mais à les  mettre plutôt en résonance avec notre imagination en les sortant de leur cadre strictement scientifique.
Nous donnons simplement à voir ce qu’évoque dans notre esprit les études stratigraphiques qui mènent au décryptage des codes telluriques !
Nous avons reconstitué les squelettes d’un « Klébarosaure » et d’un « Piafosaure »…deux créatures qui vivaient jadis dans le parc d’Emonville encore vierge de toutes interventions humaines…
Nous avons collecté d’innombrables vrais faux fossiles que les plus grands musées ne sont pas prêts de nous envier, ainsi que d’authentiques crânes de « Tergiversatiles » aussi faux que nature ! 
Les silex taillés en ont également inspiré plus d’un…mais pas les polis que nous avons un peu oubliés…trop sages sans doute !

Bref, Jacques Boucher-de-Perthes a été jeté en pâture…à l’esprit créatif de nos élèves qui connaissent mieux aujourd’hui celui qui en d’autres temps aurait pu être leur voisin !

Jean-François Petitperrin

 

Christian Pignel et Morgan Courtois

Dessin, aquarelle et céramique

Lea Dury

Myka Design Textile et Camille Grain Sculpture

du samedi 16 septembre

au vendredi 20 octobre 2017

Camille Grain

Myka Macintyre

 

Travaux d’élèves juin 2017

 

 

CLEA école de Rouvroy

Isabelle Delayen

avec Sylvie Gosselin Photographie numérique

du 12 au 16 juin 2017

Francine Deslandes

Rupestre

Peinture et techniques mixtes

Du samedi 29 avril au 9 juin 2017

Odile Debloos

Photographie 

Du 4 mars au 7 avril 2017

Robert Laugier

« En marchant autour de F. »

du 20 janvier au 27 février 2017

Nadine Chenoy

Peinture

du 18 novembre au 6 janvier 2017

 

« Ma démarche est orientée vers l’abstrait avec comme matériaux la mine de plomb, huile sur papier, de l’acrylique sur toile, et des impressions à la presse en pièces uniques.

C’est un travail très intimiste qui m’entraîne dans les méandres du monde végétal, animal et minéral. »

 

Invitations d’artistes

« Le collectif d’artistes « Le Marronnier »

expose aux beaux-arts »

Du 24 septembre au 9 octobre 2016

 

Les membres du collectif « Le Marronnier » vont investir les ateliers de l’école des beaux-arts dans le cadre des « Invitations d’Artistes 2016 ».

Dix artistes, membre du collectif, peintres, sculpteur, céramistes, photographes, calligraphe, vidéaste et plasticiens vont accrocher et présenter leurs œuvres dans tous les ateliers de l’école des beaux-arts de l’Abbevillois.

Les élèves de l’établissement pourront ainsi côtoyer intimement les travaux et aussi les intégrer avec leurs professeurs à un processus pédagogique pendant la durée de l’événement « Invitations d’Artistes » et sans doute même au-delà.

L’école des beaux-arts sera également ouverte au public qui pourra à cette occasion, découvrir l’établissement, un élément important du patrimoine abbevillois crée en 1810.

Le public pourra apprécier les œuvres présentées par leurs créateurs(trices), qui seront présents(tes) au cours des deux week-end consacrés à cet événement.

Le collectif « Le Marronnier » participe depuis de nombreuses années au dispositif « Invitations d’Artistes », les artistes membres qui le composent, entretiennent avec leur public une relation particulière dans le cadre de cet événement.

Les deux week-end que les créateurs consacrent à la présentation de leurs œuvres, en toute simplicité et dans un cadre que nous souhaitons à chaque fois convivial, permettent au public, de découvrir pour l’un et de développer pour l’autre, la relation qu’ils entretiennent avec la création contemporaine.

S’agissant de l’art contemporain, le collectif « Le Marronnier » est le créateur de la FLAC, la Foire Locale d’Art Contemporain qui s’est déroulée en de multiples lieux du département de la Somme, notamment à Picquigny, à Beauquesne, à Glisy et à Amiens.

Une nouvelle FLAC est en projet…

Pour finir j’évoquerais les liens que nous tissons depuis une dizaine d’années avec le collectif Allemand « Die Dortmunder Groupe » qui regroupe des plasticiens(nes) de la ville de Dortmund et de sa région.

Des échanges réguliers sous la forme d’expositions collectives se déroulent entre la ville de Dormund et l’axe Amiens Abbeville Baie de Somme.

Jean-François Petitperrin

Président du collectif « Le Marronnier »

et Directeur de l’école des Beaux-Arts de la Communauté de Communes de l’Abbevillois

Travaux d’élèves juin 2016

du 25 juin au 8 juillet 2016

 

Eric BOUTAIN

du 30 avril au 3 juin 2016

« JARDIN »

Un petit paradis ?

Eric Boutain enseigne les arts plastiques au Collège de Poix de Picardie. Parallèlement, il pratique la peinture depuis 25 ans, au cours desquels il a obtenu plusieurs distinctions.
Sa démarche plastique, fondée sur la mixité et l’influence orientale, est intimement liée à son vécu, à sa vie personnelle, sociale, familiale. Et il préfère incontestablement traduire ses impressions en peinture qu’en paroles, laissant ainsi au spectateur la liberté d’interpréter à sa façon la toile qui lui « parle ». D’ailleurs, ne cherchez ces lieux ni ici, ni ailleurs, car ces paysages ne sont jamais peints d’après modèles (dans le sens classique du terme).

Ils sont le résultat d’une construction, d’un cheminement, d’une obsessionnelle tentative de créer un petit paradis, une atmosphère sereine si difficilement accessible dans le monde actuel.
Chaque toile est un espace rêvé, créé, construit pour correspondre à un endroit, à un moment où il fait bon vivre. Comme un flottement au milieu de nulle part. Un paradis aussi éphémère qu’illusoire, où se côtoient sans rivalité une recherche de la perfection et des détails qui nous questionnent : des taches, des coulures, des repentirs, des débordements ou encore des traits maladroits, une profondeur incohérente ou un contour qui s’échappe de son sujet…(souvenirs du processus d’élaboration de l’oeuvre et rappel de sa matérialité) Comme s’il fallait composer avec les inévitables doutes, erreurs, imperfections de la vie réelle, pour approcher néanmoins d’un idéal de zénitude.

(article Courrier Picard – mars 2013)
L’exposition : « un petit paradis ? » regroupe une quinzaine de toiles de grands formats qui constituent la dernière série de peintures d’ Eric Boutain.
Ses œuvres, créées lors des quatre ou cinq dernières années, portent encore les traces indélébiles de son intérêt pour la culture orientale, et notamment pour la peinture japonaise traditionnelle de paysages (des cadrages particulièrement audacieux, un rôle primordial accordé au vide, des motifs essentiellement végétaux).

Mais, à y regarder de plus près, les techniques utilisées relèvent davantage d’un traitement de la surface plus contemporain .D’où une double lecture (de près et de loin) qui induit un déplacement inévitable du spectateur.
Bien que privilégiant un rapport émotionnel et instinctif à l’œuvre, Eric Boutain nous a livré lors de son intervention orale quelques éléments qui peuvent donner un aperçu de sa démarche plastique.
« Le(s) petit(s) paradis » en question, dénués de toute connotation religieuse, correspondraient plus modestement à un sentiment de « bien être ».
Se sentir bien, calme, reposé, détendu, « zen »… Qui n’est pas à la recherche de cette atmosphère cosy et relaxante ?

Hélas, la société de surconsommation dans laquelle on vit, n’ est pas toujours tendre ( loin de là, même ! ) et nombreux sont les obstacles rencontrés lors de notre quête de sérénité : imprévus, contraintes, contrariétés, inquiétudes, maladies,…
On est pressé, on est stressé, saturé (par des images, des pubs, des infos, des écrans virtuels…).
De façon métaphorique, Eric Boutain traduit ces agressions de la vie (stress) par des agressions sur la toile. D’où ce vocabulaire plastique composé de coulures, de souillures, de grattages, de taches, de projections, de « ratages », de repentirs ou de débordements.
A partir de ces effets, il improvise, en prenant soin de laisser transparaître, à la manière d’un palimpseste, tous les obstacles rencontrés lors de cette quête d’un idéal paradisiaque…
« on dit de mes toiles qu’elles sont calmes, reposantes,… Sans doute ce qu’on appelle un « faux » calme. »

 

Benoit Margez

du 26 mars au 29 avril 2016

Grille Tarifaire

Ecole des Beaux-Arts de la Communauté d’Agglomération de la Baie de Somme

Participation par atelier

CABS

Q1
<642

Q2
de 643 à 1040

Q3
de 1041 à 1500

Q4
>1501

Arts plastiques (graphisme, couleur et techniques mixtes)

Pour tous

= 55 euros

= 70 euros

= 85 euros

= 105 euros

Dessin avec modèle vivant
Gravure
Sculpture
Création numérique
Poterie

- de 18 ans

= 70 euros

= 85 euros

= 100 euros

= 125 euros

Dessin avec modèle vivant
Gravure
Sculpture
Création numérique
Poterie

+ de 18 ans

= 105 euros

= 125 euros

= 145 euros

= 170 euros

Participation par atelier

HORS CABS

Q1
<642

Q2
de 643 à 1040

Q3
de 1041 à 1500

Q4
>1501

Arts plastiques (graphisme, couleur et techniques mixtes)

Pour tous

= 110 euros

= 140 euros

= 170 euros

= 220 euros

Dessin avec modèle vivant
Gravure
Sculpture
Création numérique
Poterie

- de 18 ans

= 140 euros

= 170 euros

= 200 euros

= 250 euros

Dessin avec modèle vivant
Gravure
Sculpture
Création numérique
Poterie

+ de 18 ans

= 210 euros

= 250 euros

= 290 euros

= 340 euros